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Quand Hilary Clinton reste bouche bée par des paroles de Mère Teresa

Publiée le 07-04-2016

En 1994, lors d'un discours au National Prayer Breakfast

"Mais je sens que le plus grand destructeur de paix aujourd’hui est l’avortement, puisque cela constitue une guerre contre l’enfant, une mise à mort de l’enfant innocent, un meurtre commis par la mère elle-même. 

Et si l’on accepte qu’une mère puisse même tuer son propre enfant, comme pouvons-nous dire à d’autres personnes de ne pas se tuer les uns les autres ? Comment persuader une femme de ne pas se faire avorter ? Comme toujours, nous devons la persuader avec amour et nous rappeler que l’amour, c’est pouvoir donner jusqu’à ce que l’on ressente la douleur. Jésus a même donné sa vie pour nous aimer. Donc, la mère qui pense à l’avortement devrait être aidée pour pouvoir aimer, soit de donner jusqu’à ce que cela heurte ses plans, ou son temps libre, pour respecter la vie de son enfant. Le père de son enfant, peu importe qui il est, doit aussi donner jusqu’à ce que ce soit douloureux. 

Par l’avortement, la mère n’apprend pas à aimer, mais va même jusqu’à tuer son propre enfant pour résoudre ses problèmes. 

Et, par l’avortement, le père se fait dire qu’il n’a pas à prendre du tout de responsabilités face à l’enfant qu’il a conçu dans ce monde. Ce père est susceptible de mettre d’autres femmes dans de mêmes difficultés. Donc l’avortement mène à davantage d’avortements. 

Tout pays qui accepte l’avortement n’enseigne pas à son peuple d’aimer, mais d’utiliser toute violence pour pouvoir obtenir ce qu’ils veulent. C’est pourquoi le plus grand destructeur d’amour et de paix est l’avortement. "

L’auteur et chroniqueuse du Wall Street Journal, Peggy Noonan, y était. Voici ce qu’elle écrivit par la suite : 

Et puis, le silence. Le profond et froid silence d’une fraiche caverne ronde pendant 1.3 secondes. Ensuite, des applaudissements commencèrent du côté droit de la salle, se propagèrent et s’approfondirent, et bientôt la salle fut comblée d’applaudissements. Ils n’arrêtèrent pas avant cinq ou six minutes à mon avis. Pendant qu’ils applaudissaient, ils commencèrent à se lever, de nouveau du côté droit jusqu’au centre et au côté gauche de la salle. 

Mais ce ne fut pas tout le monde qui applaudit. Le président et la première dame, assis à quelques pieds de Mère Térésa sur l’estrade, n’applaudirent pas. Le vice président et Mme Gore firent de même. Ils avaient l’air de statues assises chez Madame Tussaud. Ils brillèrent dans les lumières et ne bougèrent pas même un muscle, fixant le haut-parleur d’une manière semi-agréable. 

 

 

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