Selon un nouveau rapport co-signé par l’OMS et l’Institut Guttmacher. L’Organisation mondiale de la santé est un institut d’études pro-avortement, jadis organiquement lié à la Fédération américaine du planning familial.
L’étude de l’OMS et de l’Institut Guttmacher porte sur les années 2010 à 2014 ; elle assure que 25,1 million d’avortements par an, soit 45,1 % de la totalité annoncée étaient « moins sûrs » ou « peu sûrs » que les interventions pratiquées dans les meilleures conditions, avec une proportion « significativement plus élevée » d’avortements peu sûrs dans les pays aux législations très restrictives, ainsi que dans les pays pauvres. Les chercheurs prônent donc un meilleur accès à l’avortement tout en souhaitant sa légalisation partout dans le monde. Et donc encore plus d'avortements.
L’étude a bénéficié du financement des organismes suivants :
- le PNUD (Programme des Nations unies pour le développement),
- FNUAP (le Fonds des Nations unies pour la population – qu’il serait plus exacte de nommer Fonds des Nations unies contre la population),
- l’UNICEF
- l’OMS
- le Programme spécial pour la recherche, le développement et la formation à la recherche pour la reproduction humaine de la Banque mondiale,
- la fondation David et Lucille Packard,
- le gouvernement du Royaume-Uni,
- le ministère néerlandais des Affaires étrangères
l’Agence norvégienne pour la coopération et de développement