Publiée le 08-12-2013
Le Saint-Père François est particulièrement proche des malades. Il donne l'impression de s'identifier à chaque malade rencontré, portant la maladie sur ses épaules, dans son coeur, dans sa prière.
Le Saint-Père parle souvent des périphéries.
On comprend mieux pourquoi. Laissons le Pape lui-même nous raconter pourquoi il doit sa vie à une religieuse. "Je suis vivant, grâce aux religieuses. Quand j'ai eu le problème au poumon, étant à l'hôpital, j'avais alors 21 ans, le médecin m'a donné de la pénicilline et du streptomycine à une certaine dose. La Soeur qui était dans le service a triplé les doses. Elle savait faire, parce qu'elle était avec les malades toute la journée. Le médecin, qui était vraiment bon, vivait cependant dans son laboratoire. La Religieuse vivait dans la frontière et elle parlait avec la frontière tous les jours".