Publiée le 20-12-2012
Un temps pour que les chrétiens s’engagent dans le monde
« Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu », fut la réponse de Jésus quand on le questionna sur les impôts. Ses interlocuteurs, bien sûr, lui tendaient un piège. Ils voulaient le forcer à prendre parti dans le débat politique très tendu sur la domination romaine en terre d'Israël. Mais l’enjeu allait encore au-delà : si Jésus était vraiment le Messie attendu depuis longtemps, alors il s’opposerait certainement à la suprématie romaine. Ainsi, la question était calculée pour l'exposer soit comme une menace pour le régime, soit comme un imposteur. lire la suite de l'article de Benoit XVI dans le "Financial Times" du 20 novembre 2012